Nous exigeons la libération immédiate de Gregorian Bivolaru et de ses adeptes !
Selon les informations dont nous disposons, le 28 novembre 2023, le professeur de yoga roumain Gregorian Bivolaru et plusieurs dizaines de ses adeptes ont été attaqués et placés en garde par 175 (!) policiers dans leurs propriétés près de Paris et dans le sud de la France. Si l'on suit les récits de la presse mensongère française, les prétendues "victimes" - un peu plus d'une vingtaine - ont été "libérées" car elles auraient été à ce qu'on dit "enlevées", "kidnappées" et, dit-on "agressées sexuellement". Il y aurait même eu des "manipulations psychologiques" - selon la presse mensongère. Les accusés seraient - toujours selon la presse mensongère - des personnalités dirigeantes et des membres d'une "secte tantrique" - on n'en peut en général rien s'imaginer, c'est-à-dire tout. Les accusations, qui rappellent les chasses aux sorcières du Moyen-Âge, sont donc les suivantes : fornication avec le véritable diable lors d'orgies excessives sur le Blocksberg. Il est significatif que les prétendues "victimes" n'aient pu être extorquées à aucune de ces accusations abstruses, et les accusés de toute façon non plus.
Nous reconnaissons dans ces événements scandaleux un remake misérable de la persécution de la communauté religieuse de Bivolaru en Roumanie en 2004 (voir nos articles dans les Lettres Hérétiques KETZERBRIEFE n° 206, 200, 198, 181, 130,128 en allemande). Toutes les sales accusations portées à l'époque se sont révélées sans objet - au cours de procès qui ont parfois été traînés pendant des années. Les seules violations de la loi ont été commises aussi maintenant par les autorités de l'Etat, cette fois-ci de la France : Rapt, chantage, fausses accusations mensongères. Les prétendues "victimes" ne s'étant pas montrées "coopératives", ont été jetées à la rue sans les téléphones et l'argent liquide confisqués. Eh bien, les nazis les auraient gardés en "détention préventive", comme maintenant les personnes faussement accusées.
La déclaration des droits authentiques de l'homme et du citoyen, conséquence directe de la Révolution française, consistait au fond en la concession de la liberté religieuse, de la tolérance religieuse dans l'esprit du grand Voltaire ; la conséquence directe était l'émancipation des juifs après des siècles de persécution et d'humiliation, on ne pouvait plus non plus impunément couper les oreilles des huguenots et les brûler en public. Ces conditions doivent manifestement faire leur retour dans la "Grande Nation", qui s'était déclarée il y a plus d'un siècle comme un Etat de droit laïc. Les droits fondamentaux inscrits dans la Constitution du pays ne valent pas un centime d'euro s'ils ne s'appliquent pas à tous. Les petites communautés religieuses - qu'il s'agisse de scientologues, de sanyasins ou de pratiquants de yoga - en sont le banc d'essai.
Nous savons que les partisans européens de la bande Soros/Rockefeller, comme le Président français, se foutent totalement des droits de l'homme et du citoyen originaires. Depuis le mouvement de protestation des "gilets jaunes", nous connaissons M. Macron comme le président des projectiles en caoutchouc et des grenades assourdissantes, comme le président des yeux crevés et des mains arrachées. Il veut désormais manifestement se muer en grand inquisiteur.
Mais nous savons aussi que ce ne sont pas tous qui partagent ce degré répugnant de mépris ostensible pour les droits démocratiques et la dignité humaine. C'est à eux que s'adresse notre appel :
Protestez auprès du ministre français de la Justice et exigez le respect inconditionnel de la liberté d'expression et de religion, comme le prévoit la Constitution française !
Stop à la persécution des prétendues "sectes", mettez fin à cette boue moyenâgeuse !
Libération immédiate de Gregorian Bivolaru et de ses adeptes !
Adressez votre lettre de protestation à :
Ministre de la JusticÉric Dupond-Moretti13 Place VendômeF - 75042 Paris Cedex 01
Veuillez nous envoyer une copie de votre lettre de protestation.
Qu'est-ce que l' « Union contre le conformisme » ?
L'« Union contre le conformisme » (Bund gegen Anpassung) a son origine dans le temps du soi-disant « mouvement étudiant » en Allemagne occidentale : Dans le cadre des nombreux mouvements oppositionnels de ce temps-là cherchant à renouer les traditions des mouvements de liberté conséquents et orientés vers Marx et Engels (que chaque citoyen des anciens Etats COMECON ne connaît que d'une manière sévèrement déformée), traditions qui avaient été anéanties par Hitler, en 1974 une organisation fut fondée, sous le nom de l'« Initiative marxiste-reichiste » (Marxistisch-Reichistische Initiative – MRI), qui associa à la lutte contre le fait d'être exposé au chantage économique – lutte symbolisée par le nom de Karl Marx – la lutte pour l'autodétermination sexuelle inconditionnelle – lutte symbolisée, à juste titre, par le nom par Wilhelm Reich, l'élève de Sigmund Freud. (La raison en était et en est le fait que l'autodétermination collective et générale, donc l'autodétermination dite « démocratique », ne peut être ni atteinte ni stabilisée sans la connaissance des éléments moteurs inconscients commandant la formation du caractère autoritaire et servile ainsi que sans la lutte contre ceux-ci.) Tandis que toutes les autres groupes de la soi-disant « Nouvelle Gauche » qui avaient commencé par une attitude hyper-radicale, disparaissaient ou dégénéraient en les serviteurs les plus obséquieux de l'Etat nord-américain militairement agressif et contrôlé par son méga-capital, respectivement en les calomniateurs les plus débridés des gouvernements vassaux de ce dernier, la MRI restait fidèle à son programme basé sur l'application des découvertes de Marx et Freud dans le but d'atteindre la liberté généralisée et maximale. C'est pourquoi elle devenait très rapidement, après la capitulation et la métamorphose de l'ancienne gauche hyper-radicale, la cible non seulement de la haine la plus venimeuse de celle-ci mais également de la persécution persistante par l'Etat. Tout de même, elle parvint, par le biais d'une « Liste multicolore »(1), à conquérir au moins un siège dans le conseil municipal (de la ville de Fribourg en Brisgou) jusqu'à-ce que les pogromes ainsi que la propagande calomniatrice de la presse rendirent impossible le maintien de son existence « légale ».
De cette alliance politique s'est développé l'« Union contre le conformisme » qui n'est pas déviée un seul millimètre du programme décrit, mais qui, précisément à cause de cela, est réduite à une forme d'existence « semi-légale » semblable à celle des bolcheviks dans l'Empire tsariste caractérisé par une pareille malignité. Tout de même, il est possible, en dépit de tous les hurlements de la presse et toutes les vociférations diffamatoires, de la découvrir authentiquement si seulement l'on le veut (en la comparant avec les clameurs de ses ennemis engouffrant l'argent des contribuables et choyés par la justice).
D'une manière très générale, notre programme est excellemment représenté par notre emblème : contrôle des naissances, réduction du temps de travail et égalité dans le monde entier. Autrement, une vie majoritairement agréable et riche ne peut pas être possible sur la planète ; plus d'un milliard d'hommes ne peuvent pas être approvisionnés bien par celle-ci, et si des masses d'hommes se marchent sur les pieds dans la bagarre pour les soi-disant « places de travail » que seuls les héritiers des propriétaires des trusts et leur bureaucratie ont à distribuer, dans ce cas-là la concurrence entre le beaucoup trop grand nombre d'hommes détruit toute solidarité et favorise la lutte de tous contre tous (excepté contre les quelques grands héritiers, le plus souvent de nationalité américaine, que personne ne voit dans leurs villas et leurs hélicoptères) ainsi que, par conséquent, la misère, la stupidité et la méchanceté.
Etant donné que la domination de quelques héritiers sur un nombre extrêmement grand de non-héritiers nécessite beaucoup de police et une propagande inlassable, une très grande quantité de travail effectué par le reste productif est dévoré par ces parasites, sbires et bonzes. Si le reste qui accomplit du travail productif ou (comme par exemple les médecins) utile partageait exclusivement les fruits de ce travail commun en en excluant le reste parasitaire ou nuisible, pour quoi il lui faudrait cependant le pouvoir politique et le commandement de l'armée, dans ce cas-là, avec le même niveau de vie qui en plus aurait été considérablement augmenté par un contrôle des naissances mis en ouvre avec succès pendant une période de temps prolongée, la durée de ce travail pourrait être extrêmement réduite. La technique suffit pour cela déjà depuis longtemps. C'est ce qu'exprime le slogan « réduction du temps de travail » dans notre emblème, mais également notre signe du marteau et de la faucille (signe perçu, à cause d'une longue perversion, de façon déformée), c'est-à-dire l'unité de tous fournissant du travail utile (dans l'industrie ainsi que dans l'agriculture) en tant que détenteurs du pouvoir politique au lieu des héritiers des trusts et leurs représentants d'intérêts.
Or, dans le cas d'importation de travailleurs de pays sans contrôle des naissances (n'importe sous quel prétexte) qui tirent les salaires vers le bas, ce programme de la prospérité générale et de la responsabilité des masses est irréalisable. D'où notre slogan « Egalité dans le monde entier ! » – non pas une égalité de la pauvreté, mais une égalité de la prospérité tranquille, de la raison au lieu de la religion, de la responsabilité au lieu de la servitude. Qui veut être plus intelligent est cordialement invité de nous raconter comment le même programme peut être réalisé de façon plus facile et moins chère ; or, jusqu'à-ce que quelqu'un ait accompli cette tâche, nous considérons tous ceux qui seulement affirment qu'ils l'ont accomplie comme des bavards ou menteurs.
A part cela, les faits et la logique doivent parler. Nous les diffusons.
(1) Dans les années soixante-dix, des listes électorales municipales dites "Bunte Listen" ("Listesmulticolores") ayant pour principaux objectifs la défense de la démocratie et la protection del'environnement, furent fondées dans plusieurs villes allemandes, à Fribourg en Brisgou par nous-mêmes. Pour les détruire, la presse, avec le soutien de l'Etat, créa une fausse opposition, les "Verts".